Quand il a dû vivre leur refus, ce n'est pas de la haine qui a pris place dans sa poitrine. C'était juste du regret et de la tristesse. Le peu de colère qu'il ressentait été contre lui-même pour avoir espéré. Sa mère avait besoin de lui, demandait son aide et semblait enfin le reconnaître comme son fils, son enfant, pour la première fois depuis longtemps.
C'était une chance qu'il ne pouvait pas laisser passer. Tout ce qu'il avait voulu était là, à porter de mains. La haine qu'il avait pour son père n'avait été que plus entretenu par les paroles de sa mère, une demande simple mais qui lui laisser espérer beaucoup.
Ils ont refusé, ils l'avaient abandonné. Avec du recul cela avait été un choix idiot de croire Héra et de s'accrocher à sa mère. Comme-ci elle pourrait changer. Elle s'était juste joué de lui comme à chaque fois. Mais sur le moment, il avait vécu leur refus comme un abandon, comme une déclaration d'ennemis et cela laissa quelque chose de douloureux.
Arès avait été blessé, en colère. S'accrochant juste à cette volonté qu'Héra disait vrais, que cela changerait quelque chose de se blesser pour elle. Elle lui à simplement tourner le dos de nouveau quand il ne pouvait plus rien lui offrir. Peu importe tout ce qu'il avait fait. Peu importe comment il avait dû les blesser pour la rendre heureux en vain.
Arès avait battu Hermès et Apollon, durement et se faisait autant mal qu'il avait eu le besoin de les blesser en même temps. Et pourtant, malgré qu'Arès les avait fait ennemi, c'étaient eux qui l'avait sauvé quand les choses avaient dégénéré et qu'Héra était partie.
Ce n'était pas aussi réconfortant qu'Arès l'aurait espéré. Il ne sait pas s'il aurait fait de même. Il l'aurait voulu, mais il ne savait pas s'il aurait eu le courage de le faire. Cela ne le rendait sans doute que plus monstrueux et violent. C'était ainsi qu'on le décrivait de toute manière. Il avait retourné l'olympe en montrant qu'il n'était bon que pour cela.
Sa mère n'avait vu que cela en lui. Il revenait encore à elle, ses pensées glissant vers elle et arrivant à se sentir mal en évoquant son seul nom. Comment ne pas le faire alors qu'il avait du sang qu'il regrettait maintenant sur ses mains, pour elle. Juste pour enfin avoir de l'un de ses parents un peu de reconnaissance et d'amour. Juste voir qu'il peut lui aussi illuminer les yeux de quelqu'un avec de la fierté.
Arès déteste la pitié qu'il voit dans les yeux des autres dieux. Il déteste aussi la tristesse qui cohabite avec la pitié dans le regard qu'offre Apollon et Hermès. Il ne veut pas leur faire face, il ne s'en sent pas capable. Cela le fait paraître si petit. Trop humain. Faible. Cela lui donne envie parfois d'exploser. Il n'est pas bon avec les sentiments, surtout les siens.
Il voulait de la fierté, qu'on l'aime et le reconnaisse. Quelque chose d'autre que de la haine ou du mépris. La pitié n'était pas recherchée. Il ne le mérite pas. Il ne le veut pas, cela fait mal de voir les conséquences de ses actes.
Arès ne veut pas de leur pardon. Ce n'était pas ce qu'il avait cherché à obtenir. Il en a fait ses ennemis. Cela devrait être assez pour briser toute chose entre eux. Ce n'est pas ce qu'il obtient. On lui donne quelques choses de si doux, de sentir Hermès le tenir et passant une main dans son dos comme-ci c'était lui qui était blesser. Il ne l'est pas. Il est celui qui les a blessés. Il a mal pourtant. Il ne sait pas quoi faire de cela.
Apollon est à côté de lui, passant une main sur ses épaules et cela semble rompre quelque chose chez le dieu de la guerre. Il ne veut pas de cela, il ne le mérite pas pour les avoir blesser. Il ne mérite pas de sentir les deux dieux le tenir comme quelque chose de précieux et d'important.
C'était ce qu'il voulait en suivant Héra. Ce que lui avait promis sa mère. Et cela fait mal de l'avoir maintenant. Il n'a rien fait pour le mérité. Ils sont ennemis. Il a fait d'eux trois des ennemis.
Timidement Arès leva ses bras. Il est pathétique, il est faible. Arès se déteste.
Ses mains tiennent Hermès comme-ci le sol allait s'écrouler sous ses pieds. Il se laisse aller contre Apollon, se sentant presque bien malgré que cela fait toujours mal dans sa poitrine. La prise des deux dieux sur lui est chaude, de la meilleure des manières, comme être devant les rayons agréables du soleil. Apollon est l'un des dieux solaires après tout. Mais les bras d'Hermès et son torse semble tout aussi chaud, bien et agréable alors qu'Arès est prisonnier de ses deux anciens ennemis. Aucuns ne parle, il n'y a pas besoin et malgré la douleur Arès se sent un peu mieux maintenant.
Il n'a jamais été haineux d'eux. Mais cela lui a fait terriblement mal d'en avoir fait ses ennemis. Il ne veux plus de cela. Jamais plus de cette douleur et cette impression d’étouffer.
Blood of Zeus - Apollon/Arès/Hermes - Ennemis
C'était une chance qu'il ne pouvait pas laisser passer.
Tout ce qu'il avait voulu était là, à porter de mains. La haine qu'il avait pour son père n'avait été que plus entretenu par les paroles de sa mère, une demande simple mais qui lui laisser espérer beaucoup.
Ils ont refusé, ils l'avaient abandonné. Avec du recul cela avait été un choix idiot de croire Héra et de s'accrocher à sa mère. Comme-ci elle pourrait changer. Elle s'était juste joué de lui comme à chaque fois. Mais sur le moment, il avait vécu leur refus comme un abandon, comme une déclaration d'ennemis et cela laissa quelque chose de douloureux.
Arès avait été blessé, en colère. S'accrochant juste à cette volonté qu'Héra disait vrais, que cela changerait quelque chose de se blesser pour elle. Elle lui à simplement tourner le dos de nouveau quand il ne pouvait plus rien lui offrir. Peu importe tout ce qu'il avait fait. Peu importe comment il avait dû les blesser pour la rendre heureux en vain.
Arès avait battu Hermès et Apollon, durement et se faisait autant mal qu'il avait eu le besoin de les blesser en même temps. Et pourtant, malgré qu'Arès les avait fait ennemi, c'étaient eux qui l'avait sauvé quand les choses avaient dégénéré et qu'Héra était partie.
Ce n'était pas aussi réconfortant qu'Arès l'aurait espéré. Il ne sait pas s'il aurait fait de même. Il l'aurait voulu, mais il ne savait pas s'il aurait eu le courage de le faire. Cela ne le rendait sans doute que plus monstrueux et violent. C'était ainsi qu'on le décrivait de toute manière. Il avait retourné l'olympe en montrant qu'il n'était bon que pour cela.
Sa mère n'avait vu que cela en lui. Il revenait encore à elle, ses pensées glissant vers elle et arrivant à se sentir mal en évoquant son seul nom. Comment ne pas le faire alors qu'il avait du sang qu'il regrettait maintenant sur ses mains, pour elle. Juste pour enfin avoir de l'un de ses parents un peu de reconnaissance et d'amour. Juste voir qu'il peut lui aussi illuminer les yeux de quelqu'un avec de la fierté.
Arès déteste la pitié qu'il voit dans les yeux des autres dieux. Il déteste aussi la tristesse qui cohabite avec la pitié dans le regard qu'offre Apollon et Hermès. Il ne veut pas leur faire face, il ne s'en sent pas capable. Cela le fait paraître si petit. Trop humain. Faible. Cela lui donne envie parfois d'exploser. Il n'est pas bon avec les sentiments, surtout les siens.
Il voulait de la fierté, qu'on l'aime et le reconnaisse. Quelque chose d'autre que de la haine ou du mépris. La pitié n'était pas recherchée. Il ne le mérite pas. Il ne le veut pas, cela fait mal de voir les conséquences de ses actes.
Arès ne veut pas de leur pardon. Ce n'était pas ce qu'il avait cherché à obtenir. Il en a fait ses ennemis. Cela devrait être assez pour briser toute chose entre eux. Ce n'est pas ce qu'il obtient. On lui donne quelques choses de si doux, de sentir Hermès le tenir et passant une main dans son dos comme-ci c'était lui qui était blesser. Il ne l'est pas. Il est celui qui les a blessés. Il a mal pourtant. Il ne sait pas quoi faire de cela.
Apollon est à côté de lui, passant une main sur ses épaules et cela semble rompre quelque chose chez le dieu de la guerre. Il ne veut pas de cela, il ne le mérite pas pour les avoir blesser. Il ne mérite pas de sentir les deux dieux le tenir comme quelque chose de précieux et d'important.
C'était ce qu'il voulait en suivant Héra. Ce que lui avait promis sa mère.
Et cela fait mal de l'avoir maintenant. Il n'a rien fait pour le mérité. Ils sont ennemis. Il a fait d'eux trois des ennemis.
Timidement Arès leva ses bras. Il est pathétique, il est faible. Arès se déteste.
Ses mains tiennent Hermès comme-ci le sol allait s'écrouler sous ses pieds. Il se laisse aller contre Apollon, se sentant presque bien malgré que cela fait toujours mal dans sa poitrine. La prise des deux dieux sur lui est chaude, de la meilleure des manières, comme être devant les rayons agréables du soleil. Apollon est l'un des dieux solaires après tout. Mais les bras d'Hermès et son torse semble tout aussi chaud, bien et agréable alors qu'Arès est prisonnier de ses deux anciens ennemis. Aucuns ne parle, il n'y a pas besoin et malgré la douleur Arès se sent un peu mieux maintenant.
Il n'a jamais été haineux d'eux. Mais cela lui a fait terriblement mal d'en avoir fait ses ennemis. Il ne veux plus de cela. Jamais plus de cette douleur et cette impression d’étouffer.